Hdiddane dit :
-Je souffrais un jour de faim car je n’avais pas mangé depuis deux joures. Passant prés dz la rivière. Je rencontrai un des nobles du pays, devant lui un plat plein de viande grillée, de perche et de pommes toutes fraiche. Je m’approchai de lui et prononçai :
-Dieu te maudit !
Tu viens de relancer mon appétit après deux jours de famine.
Je pris place a ses cotes et le priais à m’inviter. Toutes fois, il avalait son plat sans se soucier de moi. Il faisait semblant de ne pas me reconnaitre.
A un moment donné, il leva sa tête et me demanda :
-Qui es-t ? Comment es-tu arrivé à cet endroit-ci ?
Je lui répondis :
-Tu ne m’as pas reconnu monsieur ? Mais je
suis Hdiddane, le voisin de ton oncle Saàdane.
L’homme m’interrogea tandis que je le suppliais de m’offrir un peu de vivres pour subvenir à ma faim.
Tout à coup, il me posa une question à propos de son oncle Saàdane.
-DIS donc Hdiddan, comment va mon oncle Saàdane ? il m’a
vaiment manqué.
Je lui annonçai la nouvelle suivante :
-Tu n’es pas au courant
mon ami ? La MAISON DE TON ONCLE EST D2TRUITE EN VAIN DE LE RETIRER.
Comme l’éclair, l’homme s’élança, laissant derriére lui ce qui restait de son plat. Ainsi , je m’installais paisiblement pour engloutir la viande grillée, la perche, l’aubergine frit et les pommes fraiches tout en remercaiant dieu de la nourriture qu’il m’avait offerte.
Je me disais enfin :
-A bas l’avarice ! Le malheur des uns fait de bonheur des a
ليست هناك تعليقات:
إرسال تعليق