Le stylo magique

    Thomas vient dans une nouvelle école. Tous les enfants de sa classe font partie d un club(Le club des secret), sauf lui, parce qu’il n a pas d assez bonnes notes… Du moins, c est ce que lui a dit Grégoire, le chef du club. Mais Thomas a une idée…

     De toute manière, j ai trouvé une idée génial. Si ça marche, je n aurai plus besoin qu’on m aide. Ni Patricia, ni personne d autre. Jamais.

      J ai décidé de voler le stylo de la maîtresse. J ai remarqué qu’avec  ce stylo, la maîtresse ne fait jamais  aucune faute. C est un vrai stylo magique. Si j’arrive à l avoir, je serai le plus fort des plus forts. Encore plus fort que Grégoire.

      La maîtresse est dans le couloir à surveiller que tout le monde et je prends le stylo sur son bureau. Hop! je le glisse dans ma manche. C est drôlement facile, finalement!
       Quand la maîtresse s installe à sa place, elle dit:
        - je ne retrouve plus mon Bic noir.
        Elle a l air embêté.
       j ai chaud tout à coup. je dois être tout rouge. Des gouttes de sueur commencent à me dégouliner partout. Ma respiration s arrête. Mais j ai surtout le cœur qui bat fort. Tellement fort que j ai l impression qu on l entend à l autre bout de la classe. Heureusement, la maîtresse ne me regarder pas, sinon elle verrait bien que c est moi le coupable. Elle dit simplement:
       -Ce n est pas grave, vous allez faire une dictée.
       Ouf! Mon cœur se calme et je reprends une respiration normale.je suis seulement trempé de la tête aux pieds.
        En fait, je suis ravi qu on fasse une dictée. Je vais pouvoir utiliser les effet magique de mon stylo et montrer que je suis le meilleur.
        Quand je sors le stylo de la manche avec mes mais moites, Grégoire me regarder avec des yeux admiratifs.
         - C est drôlement fortiche ce que tu as fait! Finalement, t es courageux !
        Je fais semblant de ne pas l avoir entendu et j ouvre mon cahier. Je n ai pas besoin de m appliques. Le stylo écrit tout seul:( dicté).        

Guerre au chat !

Dans le grenier de la ferme, cinq souris, Mme Gray, ses trois petits et Kevin, ont décidé de mener la vie dure au chat blanc Wallace, Voici qu ils découvrent celui-ci endormi prés d une souricière.
La première chose à faire était de déplacer la souricière. jamais une souris ne pourrait le faire seule, mais en s y mettant à tout les cinq, ils parvinrent à la pousser gentiment du museau et la firent glisser centimètre par centimètre jusqu à ce qu elle se trouve exactement à coté de la queue blanche et flasque.
           -Allons-y, c est le moment, murmura Mme Gray, que chacun regagne son poste.

           Ce disant, elle se glissa avec Thomas vers l oreille droit de Wallace, tandis que Richaed prenait sa place prés de la gauche. Kevin, qui tremblait comme une feuille, vint se placer juste derrière le rebord du sofa, à environ six pattes de souris du chat endormi.

Et ils attendirent.

il fallut une à deux minutes pour que les sens de Wallace réagissent à la forte  odeur de souris qu il y avait dans l air et, soudain, ses yeux vert s ouvrirent tout grands. Une de ces créatures se tenait devant lui qui le regardait avec insolence-grosse, noir et poilue- quelle petit effrontée!
    ( Vous ne devez pas courir dés qu il vous aura vu, M.Kevin, lui avait dit Mme  Gray en lui donnant ses instructions, mais essayer de rester tranquille jusqua à ce que ça le rande fou, autrement ça ne marchera pas.)
     Aussi Kevin réussit-il à rester là assez longtemps pour que la queue de Wallace commence à s agiter et à battre l air de tous cotés, comme fait la queue, de Wallace d un chat quand il est en colère.
     Alors tout arriva exactement comme Mme Gray l avait espéré.
     Avec un claquement soudain, la souricière se referma sur le bout de la queue, tandis que les Gray, tous ensemble, poussaient des cris aigus dans les deux oreilles de Wallace à la fois. puis, comme Kevin faisait un écart de coté, le chat nlanc bondit de sous le sofa en poussant un cri d horreur, la souricière pendue au bout de sa queue rebondissant derrière lui.

La fille du jardinier

Il y avait une fois un pauvre homme qui avait trois filles et qui les aimait profondément.

Il était jardinier de son métier, et un jour qu’il bêchant dans son jardin au pied d un rosier, il aperçut un grand lézard. Et lézard se dressa devant lui disant :

-jardinier, il faut que tu me donnes une de tes filles en mariage.

Le pauvre homme rentra chez lui bien tristement. En le voyant, sa fille aînée lui demanda :

-Père, qu’avez-vous

-En bêchant au pied du rosier, j ai trouvé un grande lézard, et ce lézard m a dit :(jardinier, il faut que tu me donnes une de tes filles en mariage, sinon je te mariage,) Laquelle d entre vous  consentirait-elle à l épouser ?

-Oh ! pas moi ! dit la seconde fille.

Mais la troisième fille, qui avait tout entendu, dit :

-Moi, je l épouserai.

Elle alla au jardin et vit le grand lézard qui se tenait au  pied du rosier. Le lézard lui dit de le suivre, elle partit avec lui et jamais plus le jardinier ne revit le grand lézard ni sa fille.

Un jour, que la fille aînée s attristait en songent au sort de sa plus jeune sœur, elle eut l idée d aller bêcher dans le jardin a l endroit même ou son père avait rencontré le grand lézard. Elle découvert un escalier, et le descendit marche après marche. Arrivée au fond, elle vit une belle maison, y entra, et trouva sa sœur qui filait au coin du feu. Elle l embrassa en pleurent. Mais sa sœur lui dit:

   -Va, ne pleur pas. je ne suis pas à plaindre  

Mqaideche

Il était une fois (Kan  y  a  ma Kan),dans un village, près d une forêt, un homme qui avait sept enfants. Le plus petit s appelait Mqaideche. Il était minuscule et chétif, mais intelligent et rusé. Après la mort du père, la famille avait besoin d argent et de nourriture. Les sept frères décidèrent de passer à l action.

Un matin, ils partirent à la forêt voisine pour chasser du gibier. Au coucher du soleil, ils perdirent le chemin du retour. Ils commencèrent à avoir peur. Mqaideche, qui était courageux, aperçut un feu à l extrémité des arbres. Il demanda à ses frères de l accompagner. C était la maison de l ogre. Ce dernier, qui avait sept enfants, les accueillit chez lui. Il avait une mauvaise idée en tête. Il leur donna à diner et, pour leur sommeil, les couvrit d une gtaifa rouge. Ses enfants étaient déjà endormis sous une gtaifa vert. Pendant la nuit, Mqaidech, qui était intelligent, comprit que l ogre allait leur faire du  mal. Il prit la gtaifa rouge et la mit sur les petits ogres, puis, il réveilla ses frères et mit à leur place, sous la gtaifa vert, des oreillers. Il sortit, avec ses frères, sur  les pointes de pieds. L ogre, à demi-réveillé, versa de l eau  chaud sur ses propres enfants…Quand le soleil commençait à éclairer les lieux, Mquidech appela le cheval que son père lui avait offert en utilisant son langage ; ce dernier vint en courant. il leur montra le chemin du retour en marchant devant eux.

Quelques heures plus tard, Mqaidech et ses frères arrivèrent chez eux. Tout le monde était de les
accueillir. On organisa une grande fête durent laquelle tout le monde chantait.                                              il ne faut jamais sous-estimer les petits enfants