الثلاثاء، 13 أبريل 2021

L'arbre de Hdiddane

 Hdiddane dit :

      Le matin à l’aube, je me dirigrai vers mon champ. A mon arrivée, je trouvai un vieil homme accroupi sous un arbre. Je fus effrayé par cette situation. L’homme  S’approcha de moi et essaya de me calmer :

       -Ne t’en fais pas Hdiddane ! Je cherche refuge chez toi parce que j’ai besoin de tes consiels.

          Je lui demandai :

-          Qu’est ce que vous avez au juste, vieil homme ?

       Il répondit :

     -Je suis troublé et embrouillé. Je viens d’hériter de piéces en or et j’ai peur des jaloux et des voleurs.

      Je l’interrompis :

      -Ne paniquez pas ! vous n’avez qu’à creuser une fosse au centre de votre demeure et déposer les précieuses piéces dedans. Soyez tranquille, personne ne pourra les découvrir. Faites comme moi, je cache toute ce que j’ai de valeur au sein de ma maison.

       Regarder ce grenadier ! Le jour j’en prends soin et l’irrigue. A la tombée de la nuit, je l’arrache et l’emporte sur mon dos chez mmoi. Le matin, je le raméne à nouveau au champ pour le replanter.

      Le vieil homme éclata de rire et s’exclama :

Quel malin tu es  Hdiddan ! Tu sémes le jour et tu récoltes la nuit







Le malheur des uns fait le bonheur des autres

 

Hdiddane dit :

-Je souffrais un jour de faim car je n’avais pas mangé depuis deux joures. Passant prés dz la rivière. Je rencontrai un des nobles du pays, devant lui un plat plein de viande grillée, de perche et de pommes toutes fraiche. Je m’approchai de lui et prononçai :

-Dieu te maudit ! Tu viens de relancer mon appétit après deux jours de famine.

      Je pris place a ses cotes et le priais à m’inviter. Toutes fois,  il avalait son plat sans se soucier de moi. Il faisait semblant de ne pas me reconnaitre.

      A un moment donné, il leva sa tête et me demanda : 

      -Qui es-t ? Comment es-tu arrivé à cet endroit-ci ?

       Je lui répondis :

      -Tu ne m’as pas reconnu monsieur ? Mais je suis Hdiddane, le voisin de ton oncle Saàdane.

       L’homme m’interrogea tandis que je le suppliais de m’offrir un peu de vivres pour subvenir à ma faim.

        Tout à coup, il me posa une question à propos de son oncle Saàdane.

                      -DIS donc Hdiddan, comment va mon oncle Saàdane ? il m’a vaiment manqué.

                      Je lui annonçai la nouvelle suivante :

                     -Tu n’es pas au courant mon ami ? La MAISON DE TON ONCLE EST D2TRUITE EN VAIN DE LE RETIRER.

                    Comme l’éclair, l’homme s’élança, laissant derriére lui ce qui restait de son plat. Ainsi , je m’installais paisiblement pour engloutir la viande grillée, la perche, l’aubergine frit et les pommes fraiches tout en remercaiant dieu de la nourriture qu’il m’avait offerte.

                      Je me disais enfin :

                      -A bas l’avarice ! Le malheur des uns fait de bonheur des a
utres  

LE VIEIL HOMME ET LA MER

   Il était une fois un vieil homme. Tout seul dans son bâteau, qui pêchait au milieu du Gulf Stream. En quatre-vingt-quatre jours, il n'...